Qui sommes-nous ?


Myriam Poulain

Présidente association ENDO ACTION

Myriam, 43 ans, aide-soignante et Présidente d'Endo Action Diagnostiquée en 2008 après une occlusion intestinale, je suis au stade 4.

Malgré une bonne prise en charge par une équipe pluridisciplinaire, j'ai décidé de m'engager dans le bénévolat en 2013, pour que l'endométriose soit plus connue et pour sensibiliser le public dans ma région. Le soutien (moral surtout) est important pour vivre avec une maladie chronique et j'ai aussi pu nouer de sincères liens d'amitié avec certaines endogirls.

L'union fait la force ... ensemble, faisons sortir l'endométriose de l'ombre pour les futures générations connaissent cette maladie et pour que la recherche avance.


Oriane Stringari

J'ai de l'endométriose depuis mes premières règles j'ai été diagnostiqué a 30 lors d'un contrôle gynéco

J'ai eu une opération en suivant 

J'ai depuis, toujours, été impliquée dans la sensibilisation au sujet de l'endométriose de façon plus ou moins présente

J'ai décider de rejoindre EndoAction pour continuer à apporter mon aide 

Cela fait plus de 10 ans que j'ai appris à vivre avec l'Endométriose.


Morgan Kerampran

Je me présente , Morgan , 28 ans . Après près de 15 années de douleurs et d'examens en tout genre , j'ai était diagnostiquée en octobre 2019 et opérée en janvier 2020 . Je m'étais juré que si un jour je trouvais enfin de quoi je souffrais , j'aiderai à mon niveau les femmes atteintes . Après avoir trouver l'association EndoAction , en mp , Myriam tout naturellement m'a dit qu'elles avaient besoin de renfort j'ai donc décidé de faire partie de l'aventure d'endoaction.


Elodie Largillet

Mon parcours endo est compliqué, la maladie en elle même est complexe...et chaque cas est différent. Pour le mien, elle a été découverte en 2000 quand j'ai voulu avoir un bébé mais avant étant plus jeune j'avais des règles très douloureuses et hémorragiques à tomber en syncope en cours...balayées avec divers traitements  hormonaux :pilules etc.. j'ai connu le bonheur d 'être maman, mais ensuite le calvaire des opérations à  répétitions à commencé. 

2012: hystérectomie

2014: salpingectomie ,réfections digestives puis plusieurs coelioscopie avec utilisation de laser entre temps...

2020: résection nodules diaphragmatique partiel et résection dans le bidou (adhérences).

 

Puis des maladies s'y greffent au fur et à mesure du temps: hypothyroïdie, fibromyalgie, hyperactivié vésicale , lombalgies chroniques  ..

 

Bref, mon cas est de forme haute  et presque plus rien  à faire sur le plan chirurgical... Je suis en attente encore d'une prochaine opération  pour un prolapsus génital.

Mon rôle  de bénévole est d 'accompagner et de rassurer les femmes pour divers examens et qui se sentent seules face à la maladie..il y a beaucoup encore d'incompréhension  au sein du monde du travail et familial  car c'est une maladie chronique et invalidante ..nous nous battons chaque jours pour être comme tout le monde car elle ne se voit pas de l 'extérieur.

Nous accompagnons moralement surtout les membres de l'association humainement possible. Et quand nous pouvons aussi car nous sommes atteintes et palions comme nous le pouvons à  travers de diverses actions : endorun, forum, discutions internet , rencontres amicales ..

Le combat est loin d 'être fini et nous pensons aux prochaines générations car de plus en plus de jeunes femmes sont détectées tôt et voulons faire reconnaître cette maladie de l'ombre. 

Elodie du nord 


Amandine Troadec


Elodie Martins

Je m’appelle Elodie et j’ai 36 ans.

J’ai un parcours assez compliqué.

Diagnostiquée au bout de plusieurs années. 

J’ai eu 12 cœlioscopies, pour péritonite et endométriose. 

J’ai eu une hystérectomie l’année dernière à cause d’une adénomyose sévère a seulement 35 ans.

 

Je ne supporte malheureusement pas les hormones …

J’ai un parcours si douloureux que j’ai fait une dépression avec hospitalisation pour aller mieux. 

 

Aujourd’hui j’ai fait le choix de m’engager chez EndoAction pour aider toutes ses femmes, de les informer pour essayer de les aider dans ce parcours si compliqué quand on ne connaît pas la maladie. 

Je dis souvent "seul(e) en avance plus vite mais ensemble on va plus loin."